Saturday, 16 May 2009

Détecteur de métaux destructeurs de sites archéologiques



More advocacy to annoy the collectors on their sinking ship. This weekend viewers of France 5 will see a 52 minute documentary film "Chasseurs et pilleurs de trésors" made by Laurent Dy and produced by Maximal Productions, with the participation of France 5.
En France, il y un a un site archéologique tous les cinq cents mètres ; un patrimoine immense mais aussi une mine d'or pour les pillards. Le cadre juridique est flou et le gain financier énorme en cas de découverte de " trésor ", les vocations sont donc nombreuses. D'un coté, les pilleurs, plus ou moins conscients du mal qu'ils font. Ce sont les " détectoristes ", des particuliers qui, armés d'engins en forme de poêle à frire sensibles aux métaux, partent à la recherche de monnaies gallo-romaines. Individuellement, ils font très peu de dégâts. Mais ils sont plus de 40 000 en France. En face, les archéologues qui protègent leur zone de recherche avec les moyens du bord. C'est le cas de Frédéric Devevey. Il travaille à l'INRAP (Institut national d'archéologie préventive) et vient de commencer un chantier de fouilles en Bourgogne. Ses solutions de fortune pour écarter les visiteurs : des panneaux "chantier interdit au public", des clôtures, et même des brouilleurs de détecteur de métal. Pour lui, les indélicats font des ravages. Ces archéologues professionnels sont donc sans cesse confrontés à ces pillages. La guerre est déclarée.
Now if there really are 40 000 of these artefact hunters in France (population 62 400 000) the majority necessarily working illegally, to what do we ascribe the fact that in England there are estimated to be a quarter that number in a similar-sized population? Is it because the legal restrictions have in some way led to the hobby being more popular in France? Is it because either the French or the UK estimates are way out ? (I argued the point with HAPPAH and they do seem to have quite convincing reasons for their figures.) Whatever the reason, it is clear that rather than a purely legal solution, in order to reduce the scale of this problem we need to concentrate more on public opinion of the activity of collecting and create some form of regulation of the collection of and market in antiquities.


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